Les News 2025 - Février
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"Jazz is not just Music. It's a way of Life, It's a way of Being, A way of Thinking". Nina Simone
Le morceau du mois
Johnny GRIFFIN / I Remember You
Disques
Avishai COHEN / Brightlight

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Le Jazz Israélien foisonne de talents. Sans être exhaustif, on peut citer la fratrie Cohen (Anat la clarinettiste, Avishai le trompettiste et Yuval le saxophoniste), le pianiste Yaron Herman, le contrebassiste Omer Avital et bien entendu un autre contrebassiste, Avishai Cohen, véritable figure de proue du Jazz de son pays. Enfant d'une famille de musiciens, il débute sa formation musicale par le piano avant de se tourner vers la contrebasse. A 22 ans, il part s'installer à New York où il constitue son premier trio. C'est dans cette configuration qu'il nous propose ce "Brightlight". A ses côtés, deux jeunes musiciens particulièrement talentueux, le pianiste Guy Moskovich et l'étonnante batteuse Roni Kaspi. Cet album parfaitement équilibré est en quelque sorte celui de la maturité pour Avishai Cohen. On y retrouve des compositions originales, en particulier "Roni's Swing" et des reprises traitées avec beaucoup de personnalité, un "Summertime" qu'il chante avec un enjouement qui contraste avec les interprétations traditionnelles et une version aussi superbe qu'émouvante du "Liebestraum n°3" (Rêves d'amour) de Franz Liszt. A déguster sans modération !
"Je n’ai jamais vraiment arrêté le trio, qui reste le moteur principal de tous mes projets. Dans un trio figurent tous les éléments nécessaires à ma musique. Je n’ai besoin de rien de plus. Je peux jouer et chanter, c’est une formule souple et véloce, avec un gros son en même temps". Avishai Cohen
Guy KLUCEVSEK & Volker GOETZE / Little Big Top

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Le label "Motema" de la productrice Jana Herzen nous offre régulièrement des albums de grande qualité et souvent surprenants, comme celui-ci. Guy Klucevsek, accordéoniste Américano-Slovène s'est associé avec le trompettiste et producteur Volker Goetze pour enregistrer ce "Little Big Top". Le quartet, qui comprend également le clarinettiste Doug Wieselman et le saxophoniste Jeff Hudgins, jongle avec les genres musicaux. J'avoue que je ne connaissais pas Guy Klucevsek qui jouit pourtant d'une grande notoriété, en particulier outre-Atlantique, puisqu'il compte à son actif plus de vingt albums en tant que leader et des collaborations avec des artistes comme John Zorn, Bill Frisell, Laurie Anderson ou encore Tom Waits. Comme vous pourrez le constater à l'écoute de l'album, c'est un accordéoniste au style tout à fait unique. Quant à Volker Goetze, il collabore régulièrement avec le label "Motema" pour lequel il a produit plusieurs albums. Ce disque, véritable Patchwork musical entre musique de cirque, polkas Slovènes et ballades à la sauce Jazzy, mérite vraiment d'y tendre une oreille.
https://guyklucevsek.com/ https://www.volkergoetze.com/
Jérôme MASCO / Seeking Directions

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Cet album a vu le jour à l'initiative du saxophoniste ténor Français Jérôme Masco et de la saxophoniste baryton Allemande Kira Linn. Les 9 titres ont été enregistrés dans les conditions du Live, en 2 ou trois prises seulement ce qui confère une vraie spontanéité à l'ensemble. Le répertoire va de la pop au jazz west coast, les deux artistes revendiquent leur attachement à Gerry Mulligan et Stan Getz ce qui explique sûrement qu'ils aient choisi d'enregistrer sans piano. Du Jazz "Cool" où le ténor et le baryton dialoguent avec sensibilité et virtuosité. Mon morceau préféré, leur reprise absolument fascinante de "Comfortably Numb", le morceau emblématique de Pink Floyd. Jérôme Masco y reprend avec brio le solo culte de David Gilmour. Une belle découverte
Un morceau, une histoire
Heinz MEYER & Hans BRADTKE / Summer Wind
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"Summer Wind" a été composé en 1965 par Heinz Meyer sur des paroles de Hans Bradtke sous le titre "Der Sommerwind". Johnny Mercer a réécrit la chanson en Anglais après l'avoir entendue interprétée par la chanteuse Danoise Grethe Ingmann. On doit la première version anglaise à Wayne Newton mais le titre ne rencontre pas un grand succès. En revanche, La version la plus connue, celle de Frank Sinatra devient un véritable hit. Il l'enregistre en 1966 sur l'album "Stranger In The Night" avec l'arrangeur et chef d'orchestre Nelson Riddle. Bruce Springsteen à qui l'on demandait de ne choisir qu'une seule chanson à écouter pour le reste de sa vie a répondu "la version de Sinatra de Summer Wind" !
Peu de reprises réellement intéressantes, en voici toutefois quelques-unes : Ray Brown Trio "Live At The Loa" (1990), Michael Bublé "album éponyme" (2003), Madeleine Peyroux "Half The Perfect World" (2006), Scott Hamilton "The Shadow Of Your Smile" (2017).
Ciao Bernard - La chronique de Philippe VINCENT
Bernard Rabaud nous a quitté le 27 décembre dernier à l’âge de 77 ans. De la fin des années 70 au début des années 2000 il fut le patron du légendaire Petit Opportun, un club qui fut le cœur battant du jazz à Paris. Petit, l’établissement l’était par la taille (un bar au rez-de-chaussée et une cave contenant une cinquantaine de places au sous-sol), Opportun il l’était aussi pour qui voulait s’immerger dans la nuit parisienne du jazz rue des Lavandières Saintes-Opportunes, derrière le théâtre du Châtelet. Chaque soir vers minuit on y voyait débarquer les musiciens qui venaient faire le bœuf après un concert, parfois jusqu’à l’aube, car ils avaient fait de ce lieu magique leur seconde maison. Des français, bien sûr, mais aussi des américains de passage comme Herbie Hancock, Dizzy Gillespie ou Phineas Newborn. On put y écouter aussi Johnny Griffin, Tommy Flanagan, Chet Baker, Barney Wilen et bien d’autres, souvent programmés une semaine entière ! La proximité avec les musiciens rendait ce lieu unique et le cœur de Bernard, pour qui la musique primait toujours sur la recette, avait donné une âme à cet endroit devenu légendaire. Il a rejoint bien des grands artistes disparus et gageons qu’il a emporté avec lui le piano et le vibraphone dont il jouait fort bien pour faire une grande jam sans fin. Ciao Bernard.
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Bernard Rabaud - Courpière - 12 juillet 2006
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Je ne sais si Bill O’Connell vint un jour jouer au P’tit Opp mais il aurait pu car Bernard Rabaud avait à cœur d’y inviter les meilleurs pianistes. Peu connu en France, l’américain sorti pourtant de l’anonymat au début des années 80 en accompagnant Sonny Rollins pendant un an avant de se faire un nom dans le latin jazz. Mais avec “Touch” (JoJo Records) il revient à une forme plus classique avec un superbe trio où il est épaulé par deux maîtres, Billy Hart à la batterie et Santi Debriano à la contrebasse. Les trois se connaissent bien puisqu’ils signèrent un album live il y a deux ans avec Craig Handy et Randy Brecker, aussi n’est-il n’est pas étonnant d’écouter ici un enregistrement plein de cohésion et de complicité. Avec un répertoire composé majoritairement d’originaux mais aussi de trois standards (dont un Maiden Voyage revisité avec inspiration), l’interaction entre les trois compères se fait règle d’art pour notre plus grand plaisir, nous faisant retrouver un pianiste oublié.
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Depuis quelques années, Pierre de Bethmann se fait très productif, alternant les sorties entre ses “Essais” en trio et les albums en quartette comme ce “Agapé” (Aléa/Socadisc). Avec David El-Malek (ténor), Simon Tailleu (basse) et Antoine Paganotti (batterie), ces musiciens d’excellence s’accordent à merveille, d’autant plus que cet album fut enregistré le lendemain du précédent, “Credo”, chroniqué l’an dernier sur ce blog. C’est peut-être ce qui nous donne l’impression que cet épisode est encore plus achevé que le précédent, les musiciens y faisant preuve d’une liberté féconde autour des compositions du leader. Tour à tour énergique ou méditative, la musique coule avec la puissance d’un fleuve ou la fluidité d’une rivière tranquille mais le quartette est toujours aussi créatif. Un bel album en attendant le sixième volume des “Essais” de Pierre de Bethmann promis pour l’automne prochain.
https://pierredebethmann.fr/fr/
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Autre quartette particulièrement soudé, celui que Scott Hamilton affectionne en Scandinavie pour ses tournées. Avec lui et pour ses 70 ans, “Looking Back” (Stunt/UVM) propose une sorte de rétrospective où chaque morceau rend hommage à l’un des nombreux héros que le saxophoniste avait fait siens et qu’il a eu la chance de rencontrer. Les ombres de Jimmy Rowles, Tommy Flanagan, Gerry Mulligan ou Illinois Jacquet apparaissent entre les notes du saxophoniste avec émotion et sa fabuleuse sonorité de velours redessine une musique sans âge. Si au début de sa carrière il était pris de haut par certains tenants de la modernité à tout prix, Scott Hamilton ne s’est jamais départi de son attachement au jazz classique et à ses génies comme Ben Webster ou Coleman Hawkins et bien lui en a pris car aujourd’hui personne n’oserait traiter avec dédain son parti-pris. Ainsi continue-t-il à nous offrir des disques plus réussis les uns que les autres.
http://www.scotthamiltonsax.com/
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A l’opposé de ce classicisme, Elie Martin-Charrière propose un deuxième album hors des sentiers battus et des styles bien identifiables. Si on le connait pour sa participation au quartette de Pierrick Pédron, le jeune batteur signe avec “Era #P” (Quai Son Records/Integral) une œuvre singulière qui peut dérouter mais aussi envouter. Au-delà des compositions qui constituent un univers très riche et parfois fantasmagorique, l’alliage de sonorités très diverses contribue à une musique colorée, contrastée, où l’opposition entre des rythmiques affirmées et parfois complexes et la douceur de la flûte de Christelle Raquillet emporte l’auditeur dans un monde imaginaire. On le sait, le jazz prend parfois aujourd’hui des chemins de traverse qui l’éloigne de son histoire, et cet album-concept en est un bel exemple où le travail mélodique, harmonique et rythmique de l’auteur est à saluer. Voilà la découverte de ce début d’année.
https://www.eliemartincharriere.com/
Philippe Vincent
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Directeur de la Société OMD (1983 - 1996) spécialisée dans la distribution de labels Jazz
(Enja, Timeless, Muse, Sunnyside, GRP, etc), créateur du label IDA Records (1984 - 1998)
qui enregistra Barney Wilen, Louis Sclavis, Laurent De Wilde, Enrico Pierannunzi
et bien d'autres, Philippe Vincent est membre de l'Académie du Jazz et collaborateur
régulier de Jazz Magazine depuis 2008.
Ce n'est pas du Jazz, mais ...
Ringo STARR / Look Up
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Apparemment, à l'âge de 84 ans, le doyen des Beatles n'est pas décidé à prendre sa retraite. Au moment où son compère Paul McCartney vient d'achever une tournée mondiale triomphale, le discret Ringo Starr publie "Look Up", un album de musique Country. C'est un retour vers ce style musical puisque Ringo s'était déjà essayé à la Country sur son deuxième album solo "Beaucoups Of Blues" en 1970. Celui-ci est le fruit de la rencontre entre Ringo et le musicien et producteur T-Bone Burnett. Ce dernier a co-écrit 9 des douze chansons de l'album qui a bien évidemment été enregistré à Nashville avec d'excellents artistes du cru (Billy Strings, Larking Poe, Alison Krauss, Molly Tuttle ...). Ringo chante sur tous les titres et tient bien sûr la batterie. C'est un album qui ne révolutionne pas le genre mais que même les réfractaires à la Country auront plaisir à écouter. Long Live Sir Richard Starkey !
Bad News
Peter YARROW (31/05/1938 - 07/01/2025)
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Avec la disparition de Peter Yarrow, c'est une page de l'histoire de la Folk Music qui se tourne. En 1961, dans le quartier de Greenwich Village à New York qui est alors l'épicentre du mouvement Folk, il fonde avec Paul Stookey et Mary Travers le trio Peter, Paul & Mary. Leur répertoire mêle des compositions originales, des chansons traditionnelles et des reprises d'artistes emblématiques comme Pete Seeger, Woody Guthrie, Tom Paxton, John Denver, Gordon Lightfoot et surtout Bob Dylan. Pendant 10 ans, le trio va enchainer les succès avec comme recette, la perfection des voix et la sobriété des arrangements. Le groupe se sépare en 1970 puis se reforme à plusieurs reprises jusqu'au décès de Mary Travers en 2009. La musique Folk est un peu passée de mode mais en ce qui me concerne, j'écoute toujours avec beaucoup de plaisir ces chansons qui ont marqué ma jeunesse et contribué à mon éveil musical.
Et puisqu'on est dans le Revival, le film "Un parfait inconnu", qui retrace les premières années de la carrière de Bob Dylan, vient de sortir au cinéma.
Le mois dernier, je vous avais proposé d'essayer de découvrir l'auteur de ce texte. La réponse est pour le moins inquiétante puisqu'il a été généré par l'Intelligence Artificielle ! ! !
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"Dans les ombres douces de la nuit, le jazz murmure ses premiers accords, né des échos d'un passé où les âmes se cherchaient dans la mélodie. Comme un fleuve, il porte en lui les chants des ancêtres, les soupirs de l'exil, et les rêves de liberté.
Le jazz, c'est la poésie des notes qui s'élèvent depuis La Nouvelle Orléans, où le blues a pleuré et où le ragtime a ri. C'est le dialogue intime entre le saxophone et la nuit, une conversation où chaque note improvisée raconte une histoire, où chaque silence est une pause pour l'âme.
Sous les doigts des pianistes, les touches deviennent des mots, tissant des tapisseries sonores où se mélangent joie et mélancolie. Les trompettes, comme des étoiles filantes, tracent des chemins dans le ciel nocturne, illuminant les cœurs de ceux qui écoutent. Chaque accord, chaque improvisation, est une peinture invisible, un tableau vivant qui change à chaque instant, capturant l'essence de l'éphémère.
Le jazz est un voyage dans le temps, un retour aux racines et un envol vers l'innovation. Il porte en lui la nostalgie d'un passé où chaque note était une goutte de sueur, de joie, de douleur. Pourtant, il regarde vers l'avenir, se mariant avec les rythmes nouveaux, réinventant sans cesse son chant.
Ainsi, le jazz est une poésie sans mots, un langage universel où chaque cœur trouve son écho. C'est la danse des ombres et des lumières sur une scène où chaque musicien est à la fois poète et peintre, créant une symphonie de l'instant, un poème d'existence qui vit, respire et s'évanouit dans la nuit, laissant derrière lui une trace d'éternité".
Un artiste à découvrir ou à redécouvrir
Jean-Auguste-Dominique INGRES (1780 - 1867)
Jean-Auguste-Dominique Ingres est un peintre néo-classique né à Montauban en 1780. Sa carrière aura été marquée par ses liens avec l'Italie. D'ailleurs, il obtint le prestigieux prix de Rome en 1801. En outre, il vouait une admiration sans borne à Raphaël, le maître de la Haute Renaissance. Son œuvre majeure, "La Grande Odalisque" lui avait été commandée par Caroline Murat, la sœur de Napoléon 1er. Cette représentation imaginaire de l'esclave d'un sultan Ottoman est exposée au Musée du Louvre à Paris.
Ingres était également un passionné de musique et un excellent violoniste, d'où l'expression "Le violon d'Ingres" qui désigne, dans son acception classique, un loisir pratiqué par une personne qui excelle par ailleurs dans un autre art. Elle a été consacrée en 1924 par Man Ray dans une photo qui représente le modèle Kiki de Montparnasse, de dos, et sur laquelle il a apposé les ouïes d'un violon. En 2022, un tirage de cette photo a été vendue par Christie's pour la coquette somme de 12 millions d'euros !
"Sans être musicien, mon père adorait la musique et chantait très bien avec sa voix de ténor. Il m’inculqua le goût de la musique et me fit apprendre à jouer du violon. J’y réussis assez bien pour être admis comme second violon au Grand Théâtre de Toulouse". Jean-Auguste-Dominique Ingres
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"La Grande Odalisque" - Huile sur Toile - 91 X 162 (1814)
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Man Ray "Le violon d'Ingres" - Epreuve au sel d'argent rehaussée à la mine de plomb
et à l'encre de Chine
Une photo, une histoire
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USA - New York - Central Park - 23 mai 2009
D'une superficie de 341 hectares, Central Park est le véritable poumon vert de New York. Achevé en 1873 après seize ans de travaux, il est délimité par la 110e rue au nord, la 8e avenue à l'ouest, la 59e rue au sud et la 5e avenue à l'est. Le parc est encadré par deux quartier résidentiels, l'Upper East Side et l'Upper West Side. Il comprend plusieurs lacs artificiels, en particulier le plus grand, le réservoir Jacqueline Kennedy Onassis, des chemins piétonniers, deux patinoires, des aires de jeux en plein air. Des concerts y sont régulièrement organisés. Le plus célèbre, celui du duo Simon & Garfunkel, s'est tenu le 19 septembre 1981 devant plus de 500 000 personnes. Tout près de l'entrée ouest du parc se trouve le Dakota Building. Cet immeuble résidentiel de style néo-renaissance a été la résidence de nombreuses vedettes comme Lauren Bacall, Judy Garland, Leonard Bernstein et John Lennon. Ce dernier a été assassiné le 8 décembre 1980 à 22 h 52 devant l'entrée de l'immeuble par Mark David Chapman alors qu'il revenait d'une séance de travail en studio.
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Usa - New York - Blue Note - 23 mai 2009
"I don't have a definition of Jazz. You're just supposed to know it when you hear it".
Thelonious Monk
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